Dernière ligne droite en Nouvelle Zélande! Snifff, snifff !

Nous avons rendu notre van en bon état. Bon, le voyant de pression d’huile s’allumait de plus en plus mais on est arrivé à bon port!

L’accueil à l’agence de location du van n’a rien à voir avec le jour où nous l’avons récupéré.

Nous sommes tombés sur une grosse c…….e qui en avait rien à faire de nous.

On a demandé à faire un état des lieux et réponse : «  ben pourquoi? »

Juste pour te prouver qu’on n’a pas cassé ton van c…….e !! Du coup on part et là même pas au revoir !

Désolés, on devient légèrement vulgaires mais bon, on a trop été habitués à se faire arnaquer et au bakchich en Asie, donc maintenant on devient prudents !

Direction l’aéroport pour rejoindre Auckland où nous devons récupérer un colis chez Isabelle, la belle sœur du patron de Michel. Eh oui, nous avions envoyé avant notre départ les guides de voyage de l’Amérique du Sud et quelques affaires que nous devons récupérer avant notre départ au Chili. Comme ça les sacs étaient moins lourds et Steph avançait plus vite !

Nous arrivons à l’aéroport d’Auckland un peu tard et malgré la proposition d’Isabelle de nous héberger, nous décidons de dormir dans le hall de l’aéroport. Mais avant il fallait manger ! On a fait un petit pique nique improvisé sur les tables du Mc Do (qui était fermé). Les douaniers qui finissaient leur poste étaient morts de rire et nous demandaient s’ils pouvaient se joindre à nous ! Honnêtement, on n’aurait pas fait ce genre de chose en France, mais bon…fallait bien manger !

Une fois le festin achevé, nous avons trouvé deux beaux bancs assez confortables pour dormir. Vers 1h du mat et à peine endormis, un mec de la sécurité nous réveille en nous disant que le hall est fermé. Panique à bord, on lui demande où on peut aller dormir, à part dehors !

Heureusement le hall international est ouvert et nous suivons un chinois qui s’y  rend aussi. Là bas, les meilleurs bancs sont déjà squattés bien sûr ! On en trouve un pour deux mais Steph prenant toute la place, Michel décide de dormir par terre, à l’indienne. Ca n’a pas durée longtemps, le sol était trop froid !

Ensuite, un groupe d’Espagnols s’est mis à parler, enfin à hurler. Impossible de dormir, mais par contre très bien pour nous pour faire la transition entre l’anglais que nous avons parlé pendant 4 mois et l’espagnol et l’occasion de réviser notre vocabulaire : « joder, madre puta… »

En résumé, on n’a pas très bien dormi.

Le matin, nous rejoignons le centre d’Auckland pour retrouver Isabelle et nous récupérons le colis. Merci beaucoup Isabelle pour ce service et pour les infos sur Auckland.

Le temps étant compté avant notre vol pour Santiago du Chili, on a juste eu le temps de visiter quelques endroits de la ville et de se rendre dans la boutique officielle du Mondial de Rugby. Et oui, la coupe du monde sera cette année en Nouvelle Zélande et on en a profité pour dire aux All Black qu’ils préparent des poches de glaçons car on va leur mettre une raclée chez eux !

Les préparatifs pour cet événement sont quasi inexistants dans tout le pays. Pas beaucoup de tee-shirts ou autres articles en vente, pas de banderoles ou d’affiches. A croire que comparés aux Français, les Néo Zélandais sont humbles car en 2007 en France, on savait des mois à l’avance qu’on accueillerait la coupe du monde !

En parlant de rugby, on a été surpris de voir très très peu de stades et de clubs de rugby en Nouvelle Zélande. On se demande comment ils font pour avoir des joueurs aussi bons avec si peu d’infrastructures et une population de seulement 4 millions d’habitants. Heureusement que nous on en a 66 millions parce que sinon, quelle catastrophe !

La ville d’Auckland nous a fait pensé à Sydney : des buildings, des rues propres et où grouillent les businessmen et women tirés à quatre épingles…

 On ne sera pas là pendant la coupe du monde mais si vous avez l'occasion, allez y et profitez de visiter ce magnifique pays. Allez les bleus !

 Auckland

 Cherchez le problème .

 Le gros problème c'est que j'ai pété ma canne à pêche 4 jours avant de partir, ce fut le désastre !

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Direction Christchurch, où nous allons faire quelques arrêts pour profiter encore de ces magnifiques paysages.

Nous sommes déçus de devoir partir car la Nouvelle Zélande est vraiment notre coup de cœur.

Elly notre couchsurfeuse nous avait dit qu’après la Nouvelle Zélande, notre pays préféré ne serait plus la Birmanie, et c’est vrai. Nous avons essayé de repousser notre vol mais la date était trop loin et le budget n’aurait pas suivi.

Nous faisons un arrêt à Oamaru pour voir les pingouins mais encore une fois, pas de pingouins mais des oiseaux partout ! Tant pis, on n’aura pas vu les pingouins.

Sophie et Eric ont eu la chance de pouvoir les voir 2 jours plus tôt. Nous on devra attendre le Chili ou l’Argentine.

Après quelques photos, nous partons voir des boulders. Ce sont des gros cailloux qui avec l’érosion se sont transformés en boule. Le décor toujours aussi beau nous fait encore plus regretter de partir dans 3 jours. Mais bon, on reviendra !

Nous reprenons la route de Christchurch mais nous décidons de passer la nuit à quelques kilomètres de cette ville ravagée 1 mois plus tôt par un violent séisme et qui a fait beaucoup de victimes et de dégâts. Nous avons pu voir une partie du saccage lorsque nous avons récupéré le van et on peut vous dire que ce que la nature peut faire est impressionnant.

Nous avions oublié de vous parler du lagon Okaratio que nous avions visité après la Jackson bay. Rien de spécial sur ce lagon à part que nous avons croisé un allumé du cerveau au sommet du point de vue. C’était rigolo mais fallait être dans le contexte !!

 Oamaru

  Boulders

  Ils sont pas beaux nos tee Shirts Petocask ?

 Lagon Okarito

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Un passage en Nouvelle Zélande sans pêcher était tout simplement inenvisageable pour Michel !

Depuis qu’il a trouvé la vidéo suivante sur internet son rêve était de faire aussi bien que ces pêcheurs à la mouche.

Ayant déjà claqué le budget dans l’hélicoptère pour survoler le glacier, on n’a pas pu comme les gars de la vidéo se faire déposer au bord des rivières les plus isolées, mais à quoi bon !

Des grosses truites il y en a partout et les rivières sont magnifiques.

Après le glacier Franz Josef, nous avons fait quelques petits stops sur la route de Wanaka pour visiter des chutes d’eau et les Blue Pool réputés pour les grosses truites arc en ciel.

Eric et Michel étaient tout excités par les truites qu’on apercevait du pont. Pas de perte de temps, ils repartent aux vans et reviennent avec leurs cannes à pêche achetées spécialement à Kaikoura.

Michel a eu la chance d’attraper une grosse truite et deux plus petites par la suite.

Le rêve réalisé, on peut repartir car les mouches des sables nous ont dévorés.

 vidéo médiapeche

Sur la route de Milford Sound

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Sur la route qui nous mène au glacier Franz Josef, nous faisons pleins de petites poses pour prendre des photos avec encore des paysages plus beaux les uns que les autres. Nous en profitons pour nous arrêter à Punaikaiki, célèbre pour ces rochers en forme de pancakes empilés. Le temps est avec nous et la visite du glacier s’annonce bien.

Cet article est le 4eme sur la Nouvelle Zélande et nous avons complètement oublié de vous présenter Eric et Sophie. Donc rectification faite, voici quelques petites photos !

Eric mangeur de carotte à temps perdu !

Et Sophie, bon là on ne la reconnait pas mais c’est bien elle en train de se laver les cheveux à 7h00 du mat dans un campement sauvage. On dira pas depuis combien de jours on ne s’était pas lavés !

Petite info, on a passé quelques jours sans se laver mais pas parce qu’on est des crados, mais parce qu’on n’avait pas de douche dans le van et qu’on était obligé d’aller dans des campings et ca nous plombait un peu le budget. Fallait faire un choix !

Voila les deux réunis !

  Attention je traverse !

  Nos super vans

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Nous voici à Kaikoura où nous avons retrouvé Sophie et Eric qui sont spécialement venus de France pour nous ravitailler avec de très beaux tee shirts Petocask (offerts par notre sponsor), un appareil photo et des euros ! Merci à vous, surtout pour les euros, fallait pas !!

 accéder au site Petocask

Et oui, un voyage sans casser un appareil photo n’est pas un vrai voyage pour nous !

Nous ne vous l’avions pas dit mais Steph a malencontreusement cassé l’appareil photo de Michel en Birmanie et en a profité pour s’en racheter un tout nouveau tout beau !

Petite précision : je n’ai pas cassé le reflex sinon je crois que je ne serai plus de ce monde !!

Cette petite ville au bord du Pacifique nous a permis de voir des colonies d’otaries et des dauphins à l’état sauvage.

Les otaries ne sont pas difficiles d’accès car une simple balade sur les criques nous a suffit pour en voir des dizaines. Leur allure de grosses peluches donnait envie de s’en approcher mais la simple vue de leurs dents nous a laissé comprendre qu’il valait mieux ne pas essayer.

Nous avons hésité entre aller voir les baleines et les dauphins.

On a préféré réserver la visite des baleines pour le Canada car apparemment nous n’étions pas sûrs de pouvoir les voir. On a donc pris un tour en bateau pour allait voir les dauphins. On a longtemps croisé les doigts pour en voir ne serait-ce que quelques uns car les derniers que nous avions vu au Cambodge se trouvaient très loin du bateau et étaient difficiles à approcher. Au bout d’une heure de bateau, ce fut magique : des centaines de dauphins nous entouraient et sautaient comme Flipper !

Il y en avait partout et on ne savait plus où donner de la tête. Certains sur le bateau ont fait le choix de nager avec, nous non. L’eau était un peu trop froide !!

Nous n’avons vraiment pas regretté les 3 heures de croisière. Et on a même pas eu le mal de mer, afin presque tous !

Une fois rentrés sur la terre ferme, nous avons pris la direction de la baie d’Abel Tasman.

Michel en tant que pilote, Steph en tant que copilote et GPS (ça c’était pas gagné !) et Sophie et Eric en tant qu’assistants en cas de panne !

 video Sophie et Eric

 video Sophie et Eric

  video Sophie et Eric

  Bon lui il était vraiment pas bien !

Sur la route qui nous amène à la baie d'Abel Tasman

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